Dans cet épisode, je vous embarque dans ma dernière introspection, à savoir mes pensées et réflexions les plus intimes face au sentiment d’imposture. En plus de mes souvenirs nostalgiques,  je suis accompagnée de Félix,  Maëlys et Marc, trois jeunes actifs qui tentent au mieux de surpasser leur sentiment d’imposture afin d’affirmer leur place dans le monde du travail. Une occasion de s’immerger dans des expériences et étapes de vie propre à chacun, mais en même temps universelles. Bienvenue dans ces derniers échanges qui déconstruisent des croyances malsaines, encourage la paix dans les pensées, et où je l’espère, chacun retrouve sa légitimité.  C’est avec beaucoup d’émotion que je vous souhaite une très bonne écoute. À très bientôt ! Océane ❤️

Dans cet épisode, je vous propose de déconstruire une croyance autour du syndrome de l’imposteur. Celle qui soutient qu’il serait uniquement lié à la psyché et auto-entretenu. Cependant, des facteurs externes non identifiés en 1978 peuvent également entrer en cause, tels que les préjugés sociaux et raciaux. Ça a été le cas pour Kelly, Mika, Clara et Shaïma, des élèves brillantes dont les parcours scolaires ont connu leurs premières secousses lorsqu’elles ont intégré des universités prestigieuses. Issues de la deuxième génération des familles immigrées,  les désillusions embarquent lorsqu’elles font face à un monde dont elles n’ont pas les codes. La faible diversité dans les filières huppées, les inégalités en termes de capital culturel, les tentatives d’intégration entravées par des idées préconçues, sont autant d’éléments qui participent également à la naissance et l’entretien du syndrome de l’imposteur. Aujourd’hui jeunes actives, c’est une page de leur histoire qu’elles tentent de comprendre et de réécrire. 

Dans cet épisode, je vous embarque dans mon premier voyage réflexif autour du sentiment d’imposture qui s’est révélé à moi durant mes deux dernières années d’études. Bien que sa présence se manifeste généralement à l’âge adulte, pour certains il prend déjà racine dans des messages et croyances intériorisés depuis l’enfance selon le Docteur Chassangre. C’est le cas d’Alexandra, priée d’être une élève brillante depuis son plus jeune âge. Pour Maxance, c’est le sentiment de manque de mérite encouragé par ce phénomène qui a mis un frein à l’expression de son plein potentiel. Quête de déconstruction cognitive et premières oeuvres de guérison sont au rendez-vous.